Archiver pour mai 2019
Posté le 27 mai 2019 - par akko
Coupe de France Karaté Uechi ruy 2019
Samedi 25 mai, 7 pratiquants de l’AKKO ont participé à la Coupe de France de Karaté Uechi-ryu à Paris, sous l’œil attentif de maîtres venus d’Okinawa, berceau du karaté.
Ce fut une réussite, les enfants, adolescents et adultes se sont bien amusés. Ils ont ramené des médailles.
Résultats en kata : Manon 2e, Flora 3e, Matéo 3e
Résultats en combat : Colin 1er, Matéo 1er, Flora 2e et André 2e.
Félicitations aux compétiteurs !
Posté le 20 mai 2019 - par akko
Stage de Karaté et Kobudo avec Sensei Takashi Kinjo
En octobre 2019, des stages de Karaté et Kobudo avec sensei Takashi Kinjo seront organisés en France :
trois stages sont prévus :
- Paris – les 3 et 4 octobre
- Tours – Saint Pierre des Corps – les 5, 6 et 7 octobre
- Toulouse – du 9 au 13 octobre
Les stages des week-ends sont ouverts à tous les niveaux et tous les styles. Les cours en semaine sont réservés à des pratiquants avancés.
voici une bio succincte de Takashi Kinjo par Jean Smith qui organise la venue du sensei :
« Personnage peu connu des pratiquants français, Kinjo Takashi est un maître très réputé à Okinawa, notamment pour son utilisation de l’Eku, du bo et du nunti. En 1955, à l’âge de 16 ans il commence la pratique du karaté avec Shoshin Nagamine. Puis plus intéressé par la pratique du combat libre, il devient l’élève d’Itokazu Seiki en Uechi ryu.
C’est ce maître qui l’enverra ensuite en 1962 étudier le kobudo chez Matayoshi Shinpo dont il deviendra l’assistant pour de nombreuses années. A 26 ans, il est nommé 5ème dan et devient le 8ème et le plus jeune professeur officiel du style uechi ryu.
En 2000, il crée son propre style le kobu ryu, ce qui veut dire l’école de Takashi mais on peut le comprendre peut être aussi comme l’école des arts anciens.
Reconnu par ses pairs, il a été nommé au grade de 10ème dan autant en kobudo qu’en karaté en 2013. Chercheur infatigable, il pratique toujours autant à 80 ans. Sa philosophie et sa pédagogie assez novatrices le mettent un peu à l’écart des autres maîtres plus traditionnalistes au sens conservateur du terme. Il témoigne d’un passé où le karaté, loin des compétitions actuelles, était un art très personnalisé à travers lequel le Maître aidait l’élève à trouver sa propre voie loin d’une forme semblable à un moule auquel l’étudiant doit se conformer. »
Renseignements : Jean Smith shendao31@gmail.com